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mercredi 15 juillet 2015

La cigarette suite et fin ..

Elle l'avait attendu là, assise sur le lit les bras entourant ses genoux, se répétant et se reprochant en boucle dans sa tête le déroulement de cette fin de journée, cette erreur commise. 



Ce n’était pas son habitude ; elle se répétait qu'elle n’était qu'une idiote, la situation était très dure pour Lilou : le plus dur n’était pas la punition qu'elle allait recevoir, mais le fait d'avoir déçu son amour. Elle avait disposé juste devant elle la brosse et la cravache. Si elle avait choisi ces deux objets, ce n’était pas par hasard : c’étaient les deux qu’elle redoutait le plus. Mais, s'en voulant terriblement et voulant montrer sa bonne foi et son repentir à son homme, c’était le meilleur choix qu'elle pouvait faire. Il entra ... prit place à côté d'elle et lui releva le menton avec sa main . - Je suis extrêmement déçu de ton comportement, jeune fille. - Oui, je sais : tu vas me punir. - Oui .. tu n'es pas d’accord avec cela ? - Si .. mais je .. non rien. - Ma chérie, je t'aime et une fois que tu auras reçu cette fessée tu seras pardonnée


Il regarda les instruments avec un sourire en coin. - Jolie mise en scène … -.. - C'est vraiment ce que tu veux ? Je n'aurais peut être pas choisi cela. - Oui.. je .. Elle ravala sa salive et ses larmes - Je l'ai mérité : c'est ce que je veux. - Très bien, ma puce !
Touché, il l'attira alors sur ses genoux avec délicatesse et commença à lui claquer les fesses par dessus sa fine nuisette avec une douceur et une tendresse infinie afin de laisser la pression monter en elle de façon à ce qu'elle lâche complètement prise quand il durcirait la punition. Il claqua une fesse, puis l'autre, doucement. C’en était presque des caresses. Il ne voulait pas être dur avec elle. A ce moment-là, elle avait presque réussi à le faire craquer. Mais il n’était pas du genre à se faire avoir par sa petite chipie, alors il commença à accélérer le mouvement et à durcir sa main : il aimait sentir la douceur de ces fesses qui chauffaient à travers le tissu au fur et à mesure des claques sous sa paume . Ses fesses la brûlaient, ses larmes montaient mais elle s’efforça de ne pas se plaindre. Elle s'interdisait de gémir et chouiner ; elle ne voulait pas l’apitoyer sur son sort… jusqu’à ce qu'elle fut sur le point de craquer : sa bouche s'ouvrit, les larmes et les cris étaient sur le point de sortir lorsqu'il s’arrêta. Il passa ses doigts sous la robe et baissa le plus lentement possible la culotte qu’elle avait gardée en protection (courageuse mais pas téméraire, la chipie !) . Il caressa avec amour ses belles fesses rouges et endolories et y déposa un baiser ce qui ne la laissa pas indifférente . - Ah ma pauvre chérie je ne sais pas ce qui t'a pris lui dit-il. Elle ne put répondre sans que cette larme lui coule le long de la joue

- Je vois que tu t'en veux, j’apprécie ton comportement exemplaire qui n'est pas habituel, mais je ne peux en aucun cas laisser passer ça dit il en lui assenant une bonne vingtaine de claques à toute volée, ce qui eut pour effet de faire couler ses larmes libératrices sur ses joues. - MA-DE-MOI-SEL-LE FU-ME MA-DE-MOI-SEL-LE EN SU-BIT LES CON-SE-QUENCES ! Chaque syllabe était ponctuée d'une très ferme claque, ce qui la fit craquer. A présent, elle pleurait longuement à gros chaudrons. Il la laissa vider ses larmes, sans rien dire, sans rien faire. Une fois calmée, il la fit courber contre le bureau et lui assena 10 coups de brosse, chacun ponctué d'un « Merci chéri ! ».


Enfin, il la prit dans ses bras pour la câliner, la réconforter en lui faisant la leçon sur le danger du tabac, ce qu’elle détestait. Elle tapa du pied en lui disant qu'elle avait compris et qu'il devait arrêter.
- Dis-donc, jeune demoiselle, il me semble que tu es punie ! -... Ouuuui pardon mon coeur mais j'ai compris, promiiiis ! - Très bien. Je te crois, ma petite princesse… mais ta punition n'est pas tout à fait finie ! -.. Il la fit mettre à genoux mains sur la tete sur un petit coussin devant le lit ou il avait pris le soin de disposer des photos sur les nombreuses maladies causées par le tabac. Il la laissa ainsi trente minutes, c’était très long mais il fallait bien cela pour que cette chipie de Lilou se calme, réfléchisse, enregistre la leçon et la comprenne.



Elle regardait chaque image et, s'imaginant à la place de toutes ces malheureuses personnes, se dit qu'elle ne l'avait pas si cher payé. Lorsqu'il refit son apparition dans la chambre il s'attendait à l'entendre râler et chouiner mais au contraire elle l’accueillit avec un grand sourire, lui disant qu'elle l'aimait, que c'était rentré, qu’il pouvait être fier, très fier de sa chérie. - Ma puce, tu as 15 images devant toi. Regarde la numéro 1… Sshlack ! un coup de cravache s'abattit sur ses fesses ! - Je ne veux pas prendre le risque de te retrouver comme ça. Regarde l'image numéro 2 ! Shlack ! Il fit ainsi jusqu’à la dernière . Elle le remercia à chaque coup bien qu'il lui ait dit qu'elle n’était pas obligée. Il était fier d'elle . Elle ne recommencera pas, c'est sûr… mais bon, on ne sait jamais avec cette chipie qui ne réfléchit pas souvent avant d'agir, se dit-il en l’allongeant sur le lit pour un bon massage plein d'amour .