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Les cuisants récits de Lilou
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lundi 9 novembre 2015
samedi 26 septembre 2015
l'avant rencontre ou l'imagination de Léo
Et oui cette chipie de Lilou a encore frapper,a tel point que son homme n'a pue se résoudre qu'a envoyer sa chipie sur les genoux d'un fesseur inconnue et avec ce fesseur c'est sur Lilou recevra chaque fessées mériter fini ces petites magouilles..
alors voici un premier récit:
"l'avant rencontre ou l'imagination de Léo"
écrit par lui même
écrit par lui même
Voilà maintenant
quelques semaines que Lilou a fait la connaissance d'un fesseur, prénommé Léo,
sur les réseaux sociaux. Au départ ils s'envoyaient quelques messages, puis, au
fil des jours et des conversations, une réelle affinité s'est créée et ils prirent
tous deux beaucoup de plaisir à échanger.
Ils parlaient de
tout et de rien , de la pluie, du beau temps, de leurs activités respectives,
de leurs occupations ...
Lilou, digne
représentante de la gente des chipies, prenait un malin plaisir à titiller Léo.
Oh la plupart du temps, cela restait bon enfant, et ce fesseur aimait beaucoup
blaguer lui aussi. Seulement voilà, un beau jour les propos de Lilou
dépassèrent ses pensées, elle était allée trop loin. Elle s'en aperçut
immédiatement mais il était trop tard. Léo avait la ferme intention de
sanctionner cet écart et il ne s'en priva pas. La jeune fille obtint une punition dans la foulée. Elle
consistait à rendre, dans un délai imparti, 200 lignes manuscrites.
Deux jours plus tard, le délai fixé par le fesseur arrivait à son terme et Lilou décida alors de prendre ces lignes en photo et de les envoyer à Léo. Ce qui ferait office de preuve de la bonne volonté de la demoiselle et surtout du bon respect de la punition. Lorsque Léo reçu cette photo, son premier sentiment était la satisfaction d'avoir affaire à une chipie qui assume ses sanctions. Mais très vite, après un bref contrôle de nombre de lignes, il s'aperçu de la supercherie. Eh oui, cette chipie n'avait envoyé qu'un partie des lignes demandées. Dans la foulée, Léo envoya un message à Lilou en indiquant qu'il devait y avoir une erreur ou un oubli. Ce à quoi la jeune fille répondit qu'elle avait effectué correctement cette punition et qu'aucune erreur n'apparaissait .
- "Ne pas
respecter une punition est déjà une erreur sanctionnable, Lilou, mais tu
aggraves sensiblement ton cas en mentant effrontément !" dit Léo
- " mais, je ne
suis pas en train de mentir, la punition est faite! N'en parlon plus!"
répondit Lilou sur un ton particulièrement inapproprié pour les oreilles d'un
fesseur ...
- "Comme ça , tu
te permets de répondre sur ce ton, Lilou ? Sais-tu ce qui va t'arriver ?
- "Non! dis le
moi !"
- "Nous allons
nous rencontrer très prochainement, et je t'expliquerai en face ce que
j'attends de toi lorsque tu es punie. Après cela, tu recevras une bonne fessée
pour t'apprendre à mentir et à te comporter de la sorte ! Est-ce compris, jeune fille ?"
Lilou venait de
s'apercevoir qu'elle était allée trop loin et que Léo était à la fois agacé et
décu de ce comportement. Elle s'en voulu immédiatement.
- "Oui c'est
compris Léo je suis désolée :( "
La date de la
rencontre approchait à grands pas, et Lilou se rendait coupable de diverses
bêtises plus ou moins sans importances à ses yeux ... à ses yeux seulement ...
Le jour J arriva et le rdv
était fixé ce matin là dans un hôtel parisien. Léo attendait
patiemment sa chipie. Cette demoiselle arriva à l'heure et ils se saluèrent.
Lilou était stressée cela se voyait à son attitude, mais Léo la mit rapidement
à l'aise. Ils prirent un petit déjeuner ensemble qui permis à la tension liée à
la rencontre de s'estomper considérablement.
- "Bon Lilou,
allons dans ma chambre, nous devons discuter tous les deux"
- "Je croyais
que tu avais oublié, Léo :( très bien allons y"
Une fois dans la
chambre, Léo fit asseoir Lilou sur le lit. Il prit place sur une chaise en face
d'elle.
- "Tu vois,
Lilou, il est très important de respecter une punition, mais ce qui est encore
moins acceptable, c'est de me mentir effrontément et de me faire tourner en
bourrique"
- "Je sais que
tu as été déçu de mon comportement, excuses moi , je ne recommencerai plus ,
c'est promis :( "
- "Oui tu m'as
déçu Lilou, je t'ai promis une bonne fessée et je tiens mes promesses"
Léo prit lilou par
le bras et lui indiqua le coin afin de la faire réfléchir quelques minutes aux conséquences de ses
actes.
Pendant ce temps il s'installa sur le bord du lit. Il invita la jeune fille à le rejoindre, ce qu'elle fit sans broncher.
Pendant ce temps il s'installa sur le bord du lit. Il invita la jeune fille à le rejoindre, ce qu'elle fit sans broncher.
Lilou attendait
avec une certaine anxiété que Léo ne débute la fessée. Elle ne tarda pas à
sentir les premières claques tomber sur son postérieur, toujours protégé par sa
jupe et sa culotte. La première série lui paru moins pire que ce qu'elle
craignait, elle se détendit quelque peu.
Au bout de quelques
minutes, Léo saisit le bas de la jupe de sa chipie et la remonta afin de
découvrir un fessier qui n'était maintenant plus protégé que par une petite
culotte blanche.
Il recommença de
claquer le postérieur de Lilou avec plus de vigueur cette fois, il sentit la
demoiselle se crisper. Cela ne l'empecha
pas de poursuivre sa mission. La blancheur initiale des fesses de la jeune
fille avait disparu.
Au moment où son
fesseur allait la déculotter, Lilou aggrippa sa culotte par sa main droite.Ce qui n'eut pas l'effet escompté par la demoiselle. Léo, lui mit quelques claques appuyées sur les cuisses. La main de Lilou reprit sa position initiale, et le fesseur put déculotter sa chipie sans encombre.
Les séries qui
suivirent sur les fesses nues, parurent bien longues à Lilou, mais c'était
pendant ces instants, certes difficiles à supporter, qu'elle comprit que son
comportement devait changer.
Léo libéra la jeune
fille et l'accompagna au coin. Elle baissait la tête, les yeux remplis de
larmes qu'elle avait contenues jusqu'ici.
Après quelques
minutes, Léo permis à sa jeune fautive de se rhabiller. Elle était entièrement
pardonnée et l'estime qu'il avait en elle n'en était que renforcée. Il
l'entoura de ses bras pour la réconforter. Lilou échappa un profond soupir et
promis de ne plus recommencer ...
A suivre..
"le ressentit de Lilou"
mardi 8 septembre 2015
Feu rouge !
Il y a peu, la jeune Lilou avait décidé de s'inscrire dans une auto-école afin de passer son permis. Son homme, très fier d'elle, l'avait vivement encouragée dans cette voie. Non sans lui rappeler qu'elle pourrait compter sur son soutien pour l'aider, mais que, bien sûr, il faudrait qu'elle travaille sérieusement (ce qui n'est pas son fort ) son code, même une fois la rentrée passée. Ce qu'elle promit, bien évidemment. Un mois avait passé et, tous les matins, sérieusement, Lilou partait sur son vélo jusqu’à la salle de code et les résultats suivaient. Mais, quelques jours plus tard, il remarqua comme un léger relâchement de la part de sa petite chipie avec des résultats en baisse. Alors,
La pauvre petite Lilou eut beau protester et se débattre, rien n'y fit. Son homme, excédé par ce comportement ne lâcha rien et commença la fessée à toute volée sur sa petite robe d’été. Les claques étaient fortes, puissantes, sonores et cuisantes. Elle essaya de toute ses forces de se redresser mais en vain.. Elle était trop bien maintenue par son
Il la laissa ainsi pendant une heure sans qu’elle ne pipe mot, impressionnée par la soudaine et inattendue sévérité de son fiancé.
- Lilou, viens par ici ! Tout en lui baissant sa culotte énergiquement, il la sermonna : - A partir de maintenant tu as intérêt à réviser très sérieusement, que se soit le code ou tes cours ! Et surtout, ne t'avise plus de me parler sur ce ton là ! Suis-je clair ?! - Oui c'est très clair. Pardon, dit-elle, penaude, sa voix entrecoupée de gros sanglots. Il l'allongea alors sur ses genoux et recommença à la fesser, fermement, en cadence, et la sermonna en ponctuant chaque fin de phrases par une claque plus ferme. - J'en ai assez, Lilou de ton insolence ! CLAC Que tu me défies con-sta-ment ! CLAC Que tu négliges tes révisions ! CLAC Que tu joues les petites effrontées ! CLAC Tu me promets que tu vas faire des efforts? - Oui oui oui mon chéri . Je te promets ! Je vais réviser et je serai plus sage . Aïe ! Promis. Aïe ! Il arrêta alors la fessée : - Bien. Alors maintenant, tu vas aller te pencher sur le bureau en me copiant soixante fois : Je dois réviser mon code si je veux l'obtenir . - Maiiis ! Ca va pas non ! Tu me vois copier des lignes moi comme une .. Il la coupa sèchement : - Oui Lilou ! Oui tu vas copier ces lignes comme une vilaine gamine qui désobéit que tu es ! Elle souffla juste assez fort pour qu'il entende: - Je te déteste ! Tyran ! - Tu me détestes, Lilou ? Se rendant compte de la grosse bêtise qu'elle venait de dire, et, de peur de le vexer, elle répondit : - Non, c'est bon. Excuse-moi, je le pensais pas . - Bon.. Alors tu obéis ou je la double ? - Oui dit-elle d'un air bougon. - Lilou ?! Je t'ai posé une question ! Il serait plus poli d'y répondre, jeune effrontée ! - Oui, j'obéis répondit-elle vaincue . - Bien.. Une fois la position adoptée, elle commença à copier les lignes, chacune étant ponctuée d'un coup de cravache bien senti . Elle ne put se retenir de se redresser à chaque coup, tant la douleur était intensément cuisante . - Aie ! ça pique ! Ça brûleuh ! Ça fait maleuuh ! - C'est ce qui arrive aux jeunes insolentes ! Reprends donc ta position. Elle reçut donc soixante lignes de feu sur ses fesses qui se marquèrent vite de sa couleur préférée : le violet . C’était la première fois que notre chipie nationale gardait des traces d'une punition . - Bon... Maintenant rhabille-toi ! On sors. Tu te souviens ? - Quoi ?! Mais non ! On ira demain ! On peut pas là ! - Oh si Lilou ! On y va aujourd’hui, maintenant même ! Et tu les essaieras les maillots de bains, que tu le veuilles ou non ! Et je veux tous les voir ! Cela t'apprendra, tiens ! - Mais bébé .. Non sil te plait . - Lilou, dépêche-toi si tu veux pas une deuxième série ! Elle s’exécuta à contrecœur tout en boudant . (ah cette Lilou ...) Elle essaya donc plusieurs maillots de bains en les montrant à monsieur qui n'en perdit pas une miette... Lilou opta donc pour un maillot short pour cacher les traces qui témoignent de ses fâcheuses habitudes de ne pas travailler et de répondre .. Bizarrement depuis cet épisode, Lilou stagne sur 5 fautes.
mercredi 2 septembre 2015
exploit du jour =) 2
Mais qu'a donc encore fait Lilou ?
Pourquoi est elle donc encore au coin fesses rouge ?
Eh bien elle a encore été maladroite..
très maladroite !
Non mais allô quoi !
Oui oui a l'eau.. qu'elle a fait tomber son téléphone offert par son monsieur tout juste au dernier noel..
Ouille ouille ouille !
Je comprend mieux l’état des ses pauvres fesses maintenant..
qu'elle maladroite !
Elle en loupe pas une cette petite peste !
Elle en a pris une bonne..
une grosse..
et a la brosse !
La prochaine fois c'est sur qu'elle feras attention!
Qu'elle dis toute penaude.
Mais une chipie..
Même vaincue ..
Reste une chipie!
Son monsieur
ferait mieux
de se méfier ..
Aller quelques coup de cravache au fesses
Pour être sur que la leçon sois comprise
Et on en parles plus !
Elle est pardonner !
vendredi 21 août 2015
Un peu de patiente ..
Chers Lecteurs ne vous en faites pas je pense a vous, j'ai actuellement plusieurs articles en construction alors pour vous faire patienter quelques photos rien que pour vous un énorme bisous de Lilou .
Bon week end a tous
mercredi 15 juillet 2015
La cigarette suite et fin ..
Elle l'avait attendu là, assise sur le lit les bras entourant ses genoux, se répétant et se reprochant en boucle dans sa tête le déroulement de cette fin de journée, cette erreur commise.
Ce n’était pas son habitude ; elle se répétait qu'elle n’était qu'une idiote, la situation était très dure pour Lilou : le plus dur n’était pas la punition qu'elle allait recevoir, mais le fait d'avoir déçu son amour. Elle avait disposé juste devant elle la brosse et la cravache. Si elle avait choisi ces deux objets, ce n’était pas par hasard : c’étaient les deux qu’elle redoutait le plus. Mais, s'en voulant terriblement et voulant montrer sa bonne foi et son repentir à son homme, c’était le meilleur choix qu'elle pouvait faire. Il entra ... prit place à côté d'elle et lui releva le menton avec sa main . - Je suis extrêmement déçu de ton comportement, jeune fille. - Oui, je sais : tu vas me punir. - Oui .. tu n'es pas d’accord avec cela ? - Si .. mais je .. non rien. - Ma chérie, je t'aime et une fois que tu auras reçu cette fessée tu seras pardonnée
Il regarda les instruments avec un sourire en coin. - Jolie mise en scène … -.. - C'est vraiment ce que tu veux ? Je n'aurais peut être pas choisi cela. - Oui.. je .. Elle ravala sa salive et ses larmes - Je l'ai mérité : c'est ce que je veux. - Très bien, ma puce !
Touché, il l'attira alors sur ses genoux avec délicatesse et commença à lui claquer les fesses par dessus sa fine nuisette avec une douceur et une tendresse infinie afin de laisser la pression monter en elle de façon à ce qu'elle lâche complètement prise quand il durcirait la punition. Il claqua une fesse, puis l'autre, doucement. C’en était presque des caresses. Il ne voulait pas être dur avec elle. A ce moment-là, elle avait presque réussi à le faire craquer. Mais il n’était pas du genre à se faire avoir par sa petite chipie, alors il commença à accélérer le mouvement et à durcir sa main : il aimait sentir la douceur de ces fesses qui chauffaient à travers le tissu au fur et à mesure des claques sous sa paume . Ses fesses la brûlaient, ses larmes montaient mais elle s’efforça de ne pas se plaindre. Elle s'interdisait de gémir et chouiner ; elle ne voulait pas l’apitoyer sur son sort… jusqu’à ce qu'elle fut sur le point de craquer : sa bouche s'ouvrit, les larmes et les cris étaient sur le point de sortir lorsqu'il s’arrêta. Il passa ses doigts sous la robe et baissa le plus lentement possible la culotte qu’elle avait gardée en protection (courageuse mais pas téméraire, la chipie !) . Il caressa avec amour ses belles fesses rouges et endolories et y déposa un baiser ce qui ne la laissa pas indifférente . - Ah ma pauvre chérie je ne sais pas ce qui t'a pris lui dit-il. Elle ne put répondre sans que cette larme lui coule le long de la joue
- Je vois que tu t'en veux, j’apprécie ton comportement exemplaire qui n'est pas habituel, mais je ne peux en aucun cas laisser passer ça dit il en lui assenant une bonne vingtaine de claques à toute volée, ce qui eut pour effet de faire couler ses larmes libératrices sur ses joues. - MA-DE-MOI-SEL-LE FU-ME MA-DE-MOI-SEL-LE EN SU-BIT LES CON-SE-QUENCES ! Chaque syllabe était ponctuée d'une très ferme claque, ce qui la fit craquer. A présent, elle pleurait longuement à gros chaudrons. Il la laissa vider ses larmes, sans rien dire, sans rien faire. Une fois calmée, il la fit courber contre le bureau et lui assena 10 coups de brosse, chacun ponctué d'un « Merci chéri ! ».
Enfin, il la prit dans ses bras pour la câliner, la réconforter en lui faisant la leçon sur le danger du tabac, ce qu’elle détestait. Elle tapa du pied en lui disant qu'elle avait compris et qu'il devait arrêter.
- Dis-donc, jeune demoiselle, il me semble que tu es punie ! -... Ouuuui pardon mon coeur mais j'ai compris, promiiiis ! - Très bien. Je te crois, ma petite princesse… mais ta punition n'est pas tout à fait finie ! -.. Il la fit mettre à genoux mains sur la tete sur un petit coussin devant le lit ou il avait pris le soin de disposer des photos sur les nombreuses maladies causées par le tabac. Il la laissa ainsi trente minutes, c’était très long mais il fallait bien cela pour que cette chipie de Lilou se calme, réfléchisse, enregistre la leçon et la comprenne.
Elle regardait chaque image et, s'imaginant à la place de toutes ces malheureuses personnes, se dit qu'elle ne l'avait pas si cher payé. Lorsqu'il refit son apparition dans la chambre il s'attendait à l'entendre râler et chouiner mais au contraire elle l’accueillit avec un grand sourire, lui disant qu'elle l'aimait, que c'était rentré, qu’il pouvait être fier, très fier de sa chérie. - Ma puce, tu as 15 images devant toi. Regarde la numéro 1… Sshlack ! un coup de cravache s'abattit sur ses fesses ! - Je ne veux pas prendre le risque de te retrouver comme ça. Regarde l'image numéro 2 ! Shlack ! Il fit ainsi jusqu’à la dernière . Elle le remercia à chaque coup bien qu'il lui ait dit qu'elle n’était pas obligée. Il était fier d'elle . Elle ne recommencera pas, c'est sûr… mais bon, on ne sait jamais avec cette chipie qui ne réfléchit pas souvent avant d'agir, se dit-il en l’allongeant sur le lit pour un bon massage plein d'amour .
Ce n’était pas son habitude ; elle se répétait qu'elle n’était qu'une idiote, la situation était très dure pour Lilou : le plus dur n’était pas la punition qu'elle allait recevoir, mais le fait d'avoir déçu son amour. Elle avait disposé juste devant elle la brosse et la cravache. Si elle avait choisi ces deux objets, ce n’était pas par hasard : c’étaient les deux qu’elle redoutait le plus. Mais, s'en voulant terriblement et voulant montrer sa bonne foi et son repentir à son homme, c’était le meilleur choix qu'elle pouvait faire. Il entra ... prit place à côté d'elle et lui releva le menton avec sa main . - Je suis extrêmement déçu de ton comportement, jeune fille. - Oui, je sais : tu vas me punir. - Oui .. tu n'es pas d’accord avec cela ? - Si .. mais je .. non rien. - Ma chérie, je t'aime et une fois que tu auras reçu cette fessée tu seras pardonnée
Il regarda les instruments avec un sourire en coin. - Jolie mise en scène … -.. - C'est vraiment ce que tu veux ? Je n'aurais peut être pas choisi cela. - Oui.. je .. Elle ravala sa salive et ses larmes - Je l'ai mérité : c'est ce que je veux. - Très bien, ma puce !
Touché, il l'attira alors sur ses genoux avec délicatesse et commença à lui claquer les fesses par dessus sa fine nuisette avec une douceur et une tendresse infinie afin de laisser la pression monter en elle de façon à ce qu'elle lâche complètement prise quand il durcirait la punition. Il claqua une fesse, puis l'autre, doucement. C’en était presque des caresses. Il ne voulait pas être dur avec elle. A ce moment-là, elle avait presque réussi à le faire craquer. Mais il n’était pas du genre à se faire avoir par sa petite chipie, alors il commença à accélérer le mouvement et à durcir sa main : il aimait sentir la douceur de ces fesses qui chauffaient à travers le tissu au fur et à mesure des claques sous sa paume . Ses fesses la brûlaient, ses larmes montaient mais elle s’efforça de ne pas se plaindre. Elle s'interdisait de gémir et chouiner ; elle ne voulait pas l’apitoyer sur son sort… jusqu’à ce qu'elle fut sur le point de craquer : sa bouche s'ouvrit, les larmes et les cris étaient sur le point de sortir lorsqu'il s’arrêta. Il passa ses doigts sous la robe et baissa le plus lentement possible la culotte qu’elle avait gardée en protection (courageuse mais pas téméraire, la chipie !) . Il caressa avec amour ses belles fesses rouges et endolories et y déposa un baiser ce qui ne la laissa pas indifférente . - Ah ma pauvre chérie je ne sais pas ce qui t'a pris lui dit-il. Elle ne put répondre sans que cette larme lui coule le long de la joue
- Je vois que tu t'en veux, j’apprécie ton comportement exemplaire qui n'est pas habituel, mais je ne peux en aucun cas laisser passer ça dit il en lui assenant une bonne vingtaine de claques à toute volée, ce qui eut pour effet de faire couler ses larmes libératrices sur ses joues. - MA-DE-MOI-SEL-LE FU-ME MA-DE-MOI-SEL-LE EN SU-BIT LES CON-SE-QUENCES ! Chaque syllabe était ponctuée d'une très ferme claque, ce qui la fit craquer. A présent, elle pleurait longuement à gros chaudrons. Il la laissa vider ses larmes, sans rien dire, sans rien faire. Une fois calmée, il la fit courber contre le bureau et lui assena 10 coups de brosse, chacun ponctué d'un « Merci chéri ! ».
Enfin, il la prit dans ses bras pour la câliner, la réconforter en lui faisant la leçon sur le danger du tabac, ce qu’elle détestait. Elle tapa du pied en lui disant qu'elle avait compris et qu'il devait arrêter.
- Dis-donc, jeune demoiselle, il me semble que tu es punie ! -... Ouuuui pardon mon coeur mais j'ai compris, promiiiis ! - Très bien. Je te crois, ma petite princesse… mais ta punition n'est pas tout à fait finie ! -.. Il la fit mettre à genoux mains sur la tete sur un petit coussin devant le lit ou il avait pris le soin de disposer des photos sur les nombreuses maladies causées par le tabac. Il la laissa ainsi trente minutes, c’était très long mais il fallait bien cela pour que cette chipie de Lilou se calme, réfléchisse, enregistre la leçon et la comprenne.
Elle regardait chaque image et, s'imaginant à la place de toutes ces malheureuses personnes, se dit qu'elle ne l'avait pas si cher payé. Lorsqu'il refit son apparition dans la chambre il s'attendait à l'entendre râler et chouiner mais au contraire elle l’accueillit avec un grand sourire, lui disant qu'elle l'aimait, que c'était rentré, qu’il pouvait être fier, très fier de sa chérie. - Ma puce, tu as 15 images devant toi. Regarde la numéro 1… Sshlack ! un coup de cravache s'abattit sur ses fesses ! - Je ne veux pas prendre le risque de te retrouver comme ça. Regarde l'image numéro 2 ! Shlack ! Il fit ainsi jusqu’à la dernière . Elle le remercia à chaque coup bien qu'il lui ait dit qu'elle n’était pas obligée. Il était fier d'elle . Elle ne recommencera pas, c'est sûr… mais bon, on ne sait jamais avec cette chipie qui ne réfléchit pas souvent avant d'agir, se dit-il en l’allongeant sur le lit pour un bon massage plein d'amour .
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